lundi 26 juin 2017

LE PRÉSIDENT BOLIVIEN S'EN PREND AU CHILI EN LE COMPARANT À ISRAËL


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LE PRÉSIDENT BOLIVIEN EVO MORALES,
LE 21 MARS 2017 À LA PAZ
PHOTO AIZAR RALDES
Les responsables boliviens en question ont été accusés de divers faits de trafics, de vols, et de détention illégale d’armes, et devront quitter le territoire chilien d’ici 30 jours. 

Morales a qualifié ces expulsions de « mort civile » qui, selon lui, est comparable aux actions israéliennes au Moyen-Orient.Le président bolivien est un farouche opposant de l’État hébreu. En juillet 2014, lors du conflit qui a opposé, à Gaza, le groupe terroriste Hamas et Israël, Evo Morales a placé l'État hébreu sur la liste des « pays terroristes » de Bolivie en signe de protestation. Dans une salve de tweets indiciaires, le président chilien s'en est également pris à Donald Trump, dénonçant le projet du mur qui vise à séparer les États-Unis du Mexique.